Suivez les dernières innovations du cloud Oracle avec notre retranscription française de l’interview de Marc Seewald.
https://www.youtube.com/watch?v=dckOgiu6dTs&list=PLqBknew37gAkGR9JHVINkEf1n-ecr4mXa&index=2
En août 2016, l’éditeur historique postait sur sa chaîne Youtube une interview de son Senior Director of Product Management, Marc Seewald, retraçant le succès de la suite Oracle Planning and Budgeting Cloud Service (PBCS).
Deux années après son lancement, la solution est toujours un succès. À travers un cadre de planification et de modélisation enrichi, elle permet aux utilisateurs de lancer des process de pilotage importants tels que planification, prévision et budgétisation.
Oracle passe maintenant à la vitesse supérieure avec leur nouveau produit Oracle Enterprise Planning and Cloud Service (EPBCS) qui proposera des cadres de planification pré-construits pour les différents process business tels que bilans financier, planification des effectifs, planification des actifs etc.
Retrouvez l’interview intégrale en Français :
NIGEL :
Bonjour, je suis Nigel, Directeur Marketing Produits Senior pour EPM. Je suis accompagné par Mark, notre Directeur et Manager Produits EPM.
Commençons en parlant un peu des services Cloud Planning & Budgeting. Deux ans après, les services
comptent plus d’un millier d’utilisateurs, vous devez donc être ravi du succès de ce nouveau produit.
MARC :
Tout à fait, les services Cloud Planning & Budgeting sont un succès. Ils font partie des produits Oracle qui grandissent le plus rapidement et dépassent nos attentes. Le produit est très bien reçu par nos clients, de grandes comme de petites tailles, et par différents types d’industries. Il est utilisé à la fois en Finance et dans d’autres départements.
NIGEL :
Maintenant nous avons un nouveau produit, Enterprise Planning and Budgeting Cloud, peut-être pourrais-tu nous en dire plus ? Quel est sa valeur ajoutée par rapport à la suite Planning and Budgeting ?
MARC :
- Les bilans financiers, qui intègrent entièrement le bilan, Compte de résultat, flux de trésorerie et le pilotage par les prévisions.
- Ensuite la planification des effectifs qui permet de planifier les données de façon détaillée et à plusieurs niveaux (au niveau job code, par exemple).
- On a également la planification des immobilisations (capital asset planning) pour planifier de manière détaillée des éléments tels que les coûts de réparation et de maintenance.
- Et finalement, ce sur quoi nous sommes très enthousiastes, le project financial planning que vous pouvez utiliser de plusieurs manières. D’abord il est parfaitement adapté aux industries orientées “projet” comme la construction, l’ingénierie ou les services professionnels. Mais nous l’avons aussi implémenté de façon à pouvoir l’utiliser et l’adapter à des départements, notamment des départements orientés “projet” comme l’IT, le Marketing et leurs campagnes, ou encore les R&D.
Pour cette solution, nous avons donc pensé les fonctionnalités pour la Finance - et bien au-delà de la Finance !
NIGEL :
Oui, par exemple si on prend le planning budgétaire, ça s’adapte à d’autres infrastructures, voire à de nouvelles infrastructures.
MARK :
Absolument, nous faisons d’ailleurs ce constat surprenant auprès de certaines infrastructures au niveau des services Finances ; des services Finances d’entreprises qui seraient en train de créer de nouveaux points de vente, par exemple. Tout ça au final sont des projets pour eux. Donc ce ne sont pas des industries orientées “projet” traditionnelles, mais elles travaillent tout comme.
NIGEL :
Mark, la vraie valeur ajoutée ici est donc de sortir des choses de leurs boîtes et de se lancer rapidement sur le cloud ?
MARK :
Oui, c’est un bon point : la différence entre on-premise versus sur le cloud ici est qu’on est en mesure de délivrer beaucoup de best practice planning hors de la boîte. En plus de ça, c’est délivré dans un cadre très configurable pour que nos clients puissent trouver des fonctionnalités spécifiques à leurs exigences, et tout cela peut s’upgrader dans le cloud.
De plus, vous pouvez l’adapter à la vitesse appropriée à votre entreprise. Imaginons que vous ne vouliez utiliser que quelques process, peut être near 1, puis maturer un an ou deux pour passer near 2, et puis maturer encore jusqu’à near 3. Au final, ce sont des services quick wins qui sont aussi porteurs de valeur à long-terme.